Oh oui, tu as raison. Les enfants prennent à leur niveau ce qu'ils osnt capables de prendre; et il faut leur laisser cette liberté-là : ni interdire, ni forcer.
comme quoi on a tort de penser que les enfants sont trop jeunes pour affronter la douleur, ça vaut maintenant pour nous en tant que parents ou grand-parents.
68 était l'année du décès de mon grand père. En plus on a escamoté mon deuil à moi aussi (Oui ,je me souviens de ta note et j'y avais répondu car je me suis sentie très concernée...).